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Départ en vacances… avec ou sans file à la douane?

L’initiative UDC «Pas de Suisse à 10 millions!» mettrait fin à la voie bilatérale et à notre association à l’espace Schengen. Résultat: retour des contrôles aux frontières, exclusion de la police suisse des mécanismes de coopération européens et frein au tourisme.

L’initiative UDC veut plafonner la population à 10 millions et rompre les accords bilatéraux avec l’UE.
L’initiative UDC veut plafonner la population à 10 millions et rompre les accords bilatéraux avec l’UE.

L’été est là, et des milliers de Suisses s’apprêtent à partir en vacances. En voiture vers la France, en train vers l’Italie ou en avion depuis Zurich ou Genève. Grâce à notre association à l’espace Schengen, tout cela est simple: pas de contrôles aux frontières, moins de stress, plus de liberté. Mais tous ces avantages pourraient disparaître. L’initiative UDC contre une «Suisse à 10 millions» vise à abolir la libre circulation des personnes. En vertu de la clause guillotine, cela entraînerait la fin des accords bilatéraux I dans un délai de 6 mois – et avec eux, les accords de Schengen/Dublin.

Fini les voyages sans tracas

Grâce aux accords Schengen, on circule dans 29 pays européens sans contrôle systématique à la frontière. Une avancée concrète qui simplifie la vie, tant pour le tourisme que pour les affaires. En 2018, 90% des séjours à l’étranger effectués par les Suisses étaient en Europe. Et pour les touristes en provenance d’Asie ou d’Amérique, un seul visa Schengen suffit pour visiter presque toute l’Europe… y compris la Suisse. Sortir de Schengen, c’est retrouver files d’attente, les complications administratives et les incertitudes – pour ceux qui partent comme pour ceux qui viennent découvrir notre beau pays.

Un coup dur pour notre sécurité

Schengen inclut le système d’information SIS, consulté plus de 300’000 fois par jour par nos autorités. Il permet d’identifier des personnes recherchées, de localiser des objets volés et de renforcer les contrôles aux frontières. Sans cet accès, notre police deviendrait aveugle face à la criminalité transfrontalière. Renoncer à Schengen, c’est couper nos forces de l’ordre de leurs partenaires européens.

Quitter Schengen, c’est affaiblir la Suisse

Dans un monde marqué par des tensions géopolitiques, des défis sécuritaires et migratoires, ce n’est pas le moment d’abandonner des coopérations européennes qui fonctionnent. Schengen renforce notre sécurité, facilite nos déplacements et soutient le secteur du tourisme en Suisse. En sortir serait un véritable autogoal. L’isolement n’est pas une option pour un pays au cœur du continent européen!

Non à l'initiative de résiliation

c/o economiesuisse
Case postale
1211 Genève 4

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