Le soleil se couche lentement sur la plage de Mykonos lorsque Claire (nom modifié) se plie soudain en deux de douleur. «C’était une douleur lancinante comme je n’en avais jamais ressenti auparavant», se souvient l’étudiante. Son vol de retour vers la Suisse est prévu le lendemain, mais elle décide finalement de composer le numéro d’urgence du TCS.
À l’autre bout du fil, c’est Anja, gestionnaire de cas, qui lui répond. «J’ai tout de suite compris qu’il s’agissait d’une urgence», raconte-t-elle aujourd’hui. Elle rassure Claire et l’oriente vers un centre médical fiable, situé à proximité. Claire s’y rend en taxi. Là, on lui diagnostique une appendicite aiguë, il faut l’opérer immédiatement.
Anja contacte sans attendre le médecin traitant à Mykonos, se fait envoyer le rapport médical et discute du cas avec l’équipe médicale du TCS. «En raison de l’urgence de la situation, un rapatriement par avion sanitaire n’était pas envisageable; l’opération devait avoir lieu immédiatement», explique la gestionnaire de cas expérimentée.
L’intervention réussit. Les médecins du TCS recommandent alors une convalescence de quatre jours avant de rentrer. Claire est soulagée lorsque Anja lui propose de faire appel à une infirmière expérimentée du TCS pour l’accompagner pendant le voyage de retour. Voyager seule aurait été une source de stress supplémentaire, tandis qu’avec cette présence, elle s’est sentie en sécurité.
Anja gère toute la logistique: elle réserve le vol aller Genève-Mykonos pour l’infirmière et le vol retour vers la Suisse pour les deux jeunes femmes. Pendant tout le trajet, le Case Management reste en contact permanent avec elles, jusqu’à ce que Claire arrive chez elle, selon le planning prévu.
De nombreux voyageurs ne réalisent pas combien une opération chirurgicale d’urgence à l’étranger peut coûter cher. Dans certains pays où les frais de santé sont nettement plus élevés qu’en Suisse, comme les États-Unis, le Canada, le Japon ou l’Australie, il peut arriver que tu doives assumer toi-même une partie des frais d’hospitalisation. En effet, l’assurance de base ne rembourse au maximum que le double du tarif en vigueur dans un hôpital de ton canton de résidence.
À cela s’ajoute le fait que les rapatriements vers la Suisse ne sont pas rares et ne sont couverts que dans une mesure limitée. Chaque année, le TCS en organise environ 1300.
Les rapatriements suite à un accident sont couverts par l’assurance accidents jusqu’à concurrence de 29’640 francs. En cas de rapatriement lié à une maladie, l’assurance maladie ne couvre les frais que jusqu’à concurrence de 500 francs. Or, comme le souligne Anja, ces rapatriements peuvent rapidement coûter une petite fortune, surtout si un avion sanitaire est nécessaire.
Avec la protection voyage du TCS, tu bénéficies non seulement d’un accompagnement 24 heures sur 24 par des gestionnaires de cas et des médecins, mais aussi d’une sécurité financière: rapatriement et couverture illimitée des frais de guérison à l’étranger avec la protection Plus.
Les Case Managers et les médecins du TCS sont à la disposition des voyageurs 24h/24, 365 jours par an. Avec la protection voyages du TCS, tu es couvert non seulement en cas d’urgence médicale, mais aussi dans de nombreuses autres situations, par exemple si...
... tu tombes en panne à l’étranger.
... tes bagages sont endommagés ou perdus.
... tu ne peux pas partir en voyage, par exemple à cause d’une grippe.
Et dans bien d’autres cas encore.
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