Checklist Alpenbrevet: plus de watts, moins de défaillances

L’Alpenbrevet à Andermatt n’est pas une course comme les autres. C’est l’épreuve ultime d’endurance pour les cyclistes amateurs. Avec le parcours Platine – 267 kilomètres et 6800 mètres de dénivelé – c’est plus dur que certaines étapes reines du Tour de France. Pour y arriver, il faut non seulement un cœur solide et de bonnes jambes, mais aussi une préparation nutritionnelle adaptée avant, pendant et après la course.

1. Préparation: le «carb-loading» – tu vas brûler jusqu’à 10’000 calories

Sur le parcours Platine, tu brûles entre 8000 et 10’000 calories selon ton poids et ton style de pédalage. C’est l’équivalent de 4 kilogrammes de pâtes ou 25 barres chocolatées.

Ton corps commence par utiliser ses réserves de glycogène, le carburant rapide pour les côtes et les accélérations. Mais une fois vidées, il passe à la combustion des graisses – plus lente, moins efficace. D’où l’intérêt de remplir ces réserves avant le départ:

Méthode de carb-loading (pratique moderne)

• 2–3 jours avant la course: alimentation riche en glucides (~8–12 g par kilogramme de poids corporel et par jour)

• Exemple: 70 kilogrammes → 560–840 grammes de glucides/jour

• Réduire les graisses et protéines pour ne pas ralentir la digestion

• Réduire nettement le volume d’entraînement (tapering) pour éviter de puiser dans les réserves

• Le matin de la course (3–4 heures avant le départ): un repas riche en glucides, pauvre en fibres (riz blanc, pain grillé, banane...)

2. Augmente ta puissance en watts

La performance à vélo se mesure en watts. Les cyclistes amateurs tournent entre 150 et 250 watts dans les côtes, les amateurs ambitieux dépassent les 300 watts. Les pros du Tudor Pro Cycling Team poussent parfois au-delà de 400 watts en montagne – plus de 6 watts par kilogrammes, pendant une heure complète.

Mais ce n’est pas seulement la puissance max qui compte, c’est la capacité à la maintenir. Et c’est là qu’intervient la créatine.

KA-EX BOOST+ contient 3 grammes de Creapure®, une créatine pure qui augmente scientifiquement la puissance sur les efforts courts et intenses – comme les relances ou les murs raides. Combinée à de la L-Citrulline (favorise la circulation sanguine) et des électrolytes, c’est un vrai boost d’endurance.

3. Évite la déshydratation – 2% de perte d’eau = 10% de performance en moins

Dans les cols et sous la chaleur, tu peux perdre 3 à 6 litres d’eau – voire plus. Et une perte de seulement 2% d’eau peut te ralentir de 10%.

Conséquences: crampes, vertiges, baisse de concentration, sensation de vide total. Beaucoup ne réalisent que trop tard qu’ils sont déjà déshydratés.

KA-EX BOOST+ apporte des électrolytes essentiels (magnésium, potassium, calcium) et de la L-Citrulline pour soutenir la circulation. Résultat: ton corps reste stable, et ta tête concentrée.

4. 72 heures pour récupérer – voici comment ton corps se remet en équilibre

Après 267 kilomètres, ton corps n’est pas juste «fatigué»: il est en mode réparation intense. La récupération se fait en trois phases:

• Phase 1 (la première heure): réhydratation, recharge des électrolytes et des glucides – le corps absorbe au mieux.

• Phase 2 (le sommeil): les muscles se régénèrent, le cortisol baisse, le système immunitaire se stabilise. Le cerveau traite aussi les efforts physiques et mentaux.

• Phase 3 (24–72 heures après): les courbatures (DOMS) apparaissent. Inflammations, réparation cellulaire et rééquilibrage acido-basique sont en cours.

Offre-toi un KA-EX recharge+, spécialement conçu pour cette phase. Avec des substances bioactives, de la phosphatidylsérine, des acides aminés et des sels alcalins, il aide ton corps à revenir à son équilibre – comme chez les pros.

Ce qui compte pour Tudor Pro Cycling sur le Tour de France peut aussi t’aider lors de l’Alpenbrevet: KA-EX est le choix de plus de 1000 athlètes professionnels dans le monde, dont Lara Gut-Behrami, le FC Bâle, le FC Zurich, des clubs de Bundesliga et bien d’autres.