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«Nous exportons 100% de notre production»

Pourquoi les accords bilatéraux avec l’UE sont-ils vitaux pour les entreprises suisses? Le point avec Pierre-Yves Bonvin, CEO de Steiger Participations à Vionnaz (VS), qui produit des machines à tricoter pour le secteur médical, technique et de la mode haut de gamme.

Pierre-Yves Bonvin, CEO de Steiger Participations.
Pierre-Yves Bonvin, CEO de Steiger Participations.

Pourquoi la voie bilatérale est-elle si importante pour une entreprise comme Steiger?

Nous exportons tout ce que nous produisons vers l’UE. Ce marché est donc vital pour nous. Pour continuer à produire en Suisse tout en assumant des coûts salariaux parmi les plus élevés au monde, nous devons nous adresser à des clients capables de payer pour la valeur ajoutée que nous apportons. Ces clients se trouvent principalement en Europe. Dans le secteur de la mode, par exemple, nous travaillons avec des maisons de haute couture françaises ou italiennes telles que Prada, Chanel ou Hermès. En dehors du continent, il est beaucoup plus rare de trouver des marques prêtes à investir dans nos machines produites en Suisse, même si nous cherchons constamment à ouvrir de nouveaux marchés dans les différents segments où nous sommes présents.

Y a-t-il d’autres avantages?

Au-delà de l’accès privilégié au marché européen qu’ils nous garantissent, les accords bilatéraux nous permettent également de recruter les spécialistes aux profils très spécifiques dont nous avons besoin chez Steiger. Il y a de très bons ingénieurs en Suisse, mais il n’existe pas de filière pour former des techniciens dans le tricotage, contrairement à la France, l’Italie ou l’Espagne.

La voie bilatérale nous offre également des atouts essentiels en matière d’innovation, un facteur vital pour une entreprise comme Steiger. Nous avons pu participer à un grand projet européen dans le cadre d’Horizon Europe. Grâce à ce projet, nous avons acquis la compétence de tricoter de la fibre de carbone. Un énorme bond en avant en matière d’innovation! Cela nous a permis de diversifier nos débouchés, en développant une machine capable de tricoter notamment le radôme qui protège le radar situé sur l’aile des avions Pilatus PC-12.

Pourquoi la Suisse a-t-elle négocié de nouveaux accords avec Bruxelles?

Si nous ne faisons rien, la voie bilatérale va continuer de s’éroder, et certains accords existants ne seront tout simplement plus mis à jour. Chez Steiger par exemple, nous certifions en Suisse les machines que nous produisons, et cette certification CE est automatiquement reconnue sur le marché européen. C’est ce qu’on appelle l’accord sur la reconnaissance mutuelle (ARM). Si cet accord bilatéral n’est pas actualisé, nous serons contraints d’ouvrir une filiale dans l’UE afin de faire certifier une seconde fois nos machines avant de pouvoir les vendre sur le marché européen. Une démarche qui alourdirait considérablement notre accès au marché, tout en entraînant des coûts importants en temps comme en argent. Le statu quo n’est donc pas une option.

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