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«Je n’ai pas isolé un câble. Et paf, électrocution!»

Que ce soit des vis cassées, des étagères bancales ou des salles de bains inondées, les plus grands drames ne se jouent pas au théâtre, mais lors de projets de bricolage. Mais au final, il y a toujours une solution.

Une étagère qui ne veut pas rester droite. Une peinture qui semble différente sur le mur et dans le pot. Ou encore le moment où l’on se rend compte qu’on a acheté les mauvaises vis. Quiconque s’est déjà lancé dans un projet DIY le sait: cela se passe rarement sans drame.

C’est exactement ce sentiment que Hornbach veut capter dans sa nouvelle campagne publicitaire «Pas de projet sans drame». Avec beaucoup d’humour, le magasin de bricolage montre que les erreurs, les mésaventures et les petites catastrophes font partie intégrante du DIY, mais qu’au final, on peut tout de même être fier du résultat. Car c’est justement l’improvisation, la remise en question et la résolution des problèmes qui transforment presque chaque projet en une histoire de réussite personnelle.

Voici comment se déroulent les drames en Suisse

Mais quels sont donc les drames typiques vécus par les bricoleurs en Suisse? Nous avons interrogé les clients devant un magasin Hornbach et avons obtenu des réponses étonnamment sincères, drôles et parfois même touchantes.

Daniel: «Quand on travaille, on fait des erreurs, même moi qui suis artisan. Aujourd’hui encore, j’ai accidentellement coupé un rail trop court. Je su...
Alexandra: «J’ai construit un lit mezzanine pour ma fille et je n’ai pas mesuré les crochets pour accrocher l’échelle. Je me suis dit que ça irait trè...
Dominik: «Ma grand-mère adore le café, mais à cause de son âge avancé, elle ne parvenait plus à atteindre la cafetière qui était trop haute. On lui a...
Claire et Hans-Peter: «Nous avons posé des pierres dans le jardin, mais malheureusement de façon à ce que la voiture ne puisse plus passer. Donc tout...
Raida: «Mon projet de potager a été complètement saboté par la météo. Pluie sans arrêt, puis le soleil.  Mes légumes n’ont pas pu mûrir correctement....
Yves: «J’ai bricolé un stroboscope et je n’ai pas isolé les câbles. Et paf, électrocution! Le fusible a sauté, tout l’appartement était dans le noir....
Hans: «Le support que j’avais installé moi-même dans la salle de bain s’est cassé. Au lieu de dépenser 100 francs pour une nouvelle barre, j’ai demand...
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Daniel: «Quand on travaille, on fait des erreurs, même moi qui suis artisan. Aujourd’hui encore, j’ai accidentellement coupé un rail trop court. Je suis donc allé chez Hornbach pour en acheter un nouveau et j’ai pu me remettre au travail.»
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Alexandra: «J’ai construit un lit mezzanine pour ma fille et je n’ai pas mesuré les crochets pour accrocher l’échelle. Je me suis dit que ça irait très bien comme ça, et j’ai pris des crochets provisoires, qui bien sûr n’ont pas tenu. Finalement, j’ai trouvé des crochets plus fins et coudés dans un magasin de bricolage, et maintenant l’échelle tient bien.»
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Dominik: «Ma grand-mère adore le café, mais à cause de son âge avancé, elle ne parvenait plus à atteindre la cafetière qui était trop haute. On lui a donc fabriqué une table d’appoint avec trois planches. Bien sûr, elle s’est effondrée pendant qu’elle préparait son café. Finalement, nous sommes allés dans un magasin de bricolage et avons demandé conseil à un professionnel.»
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Claire et Hans-Peter: «Nous avons posé des pierres dans le jardin, mais malheureusement de façon à ce que la voiture ne puisse plus passer. Donc tout a été retiré et reposé. Les erreurs arrivent, parfois, il faut juste refaire les choses.»
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Raida: «Mon projet de potager a été complètement saboté par la météo. Pluie sans arrêt, puis le soleil. Mes légumes n’ont pas pu mûrir correctement. Les tomates n’avaient aucun goût, la terre était dure comme de la pierre. Avec de la nouvelle terre, de l’engrais et beaucoup de patience, j’ai finalement réussi à sauver une partie des légumes que j'avais plantés.»
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Yves: «J’ai bricolé un stroboscope et je n’ai pas isolé les câbles. Et paf, électrocution! Le fusible a sauté, tout l’appartement était dans le noir. Après ça, je l’ai fait correctement, avec une planche en bois et des câbles sécurisés. Leçon apprise: la sécurité d’abord.»
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Hans: «Le support que j’avais installé moi-même dans la salle de bain s’est cassé. Au lieu de dépenser 100 francs pour une nouvelle barre, j’ai demandé conseil à mon neveu. Il m’a conseillé d’acheter de nouvelles vis et j’ai pu le réparer moi-même. Argent économisé et problème résolu.»

Et, comme souvent en Suisse, le chaos est presque toujours suivi d’une fin heureuse. Que ce soit grâce à l’aide d’un voisin serviable, à une soudaine idée de génie ou tout simplement à une solution astucieuse trouvée chez Hornbach.

C’est précisément ce qui rend cette campagne si attachante: elle nous rappelle qu’il est normal que certains projets ne réussissent pas du premier coup. L’important, c’est de persévérer. Car ce n’est qu’ainsi qu’on peut, à la fin, contempler son œuvre avec un sourire rempli de fierté.

Le pire qui puisse arriver, c’est de ne pas commencer.

Tu préfères avoir appris quelque chose qu’avoir un projet inachevé. Rien ne peut t’arrêter. Il manque quelque chose, ça ne va pas ou bien c’est de travers? D’autres abandonnent, mais toi, tu persévères. Car si c’était facile, tout le monde pourrait le faire.

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Ce contenu a été réalisé par le Commercial Publishing, en collaboration avec Hornbach Baumarkt (Schweiz) AG. Le Commercial Publishing est le département de Content marketing qui travaille sur mandat de 20 minutes et de Tamedia.