Alizé Oswald et Xavier Michel se sont rencontrés en 2004 lors d’ateliers pour auteur-compositeur. Très vite, l’évidence s’impose: ils doivent travailler ensemble. Bien qu’ils fassent de la musique depuis l’enfance, jamais ils n’auraient imaginé en vivre un jour.
Avec beaucoup de travail – et un peu de chance –, leur rêve est devenu réalité. «Quand notre chanson "L’homme en costume" a été diffusée à la radio suisse, tout s’est enclenché», raconte Alizé. «Et grâce à la francophonie, nous avons pu nous produire dans le monde entier», ajoute Xavier.
Pour que les créatrices et créateurs de musique puissent vivre de leur art, les revenus issus des droits d’auteur – pour la composition ou les textes – sont essentiels. C’est précisément le rôle de SUISA, la coopérative des auteurs et éditeurs de musique en Suisse et au Liechtenstein.
SUISA veille à ce que les ayants droit soient rémunérés équitablement lorsque leurs œuvres sont diffusées ou utilisées commercialement – dans les restaurants, bars, commerces ou bureaux.
«Aujourd’hui, nous vivons uniquement de l’écriture, de la musique et des droits d’auteur pour les chansons que nous composons, pour nous et pour d’autres», explique Xavier. «Avec autant de titres interprétés par d’autres ou joués à l’étranger, il serait impossible de tout suivre nous-mêmes.»
Il serait tout aussi irréaliste pour les gérants de commerces ou de restaurants de contacter chaque auteur individuellement pour négocier les droits d’utilisation. C’est pourquoi SUISA délivre des licences globales couvrant la quasi-totalité du répertoire mondial de musique.
Utiliser de la musique dans un espace commercial crée une atmosphère – comme la lumière ou la décoration. Les autrices et auteurs ont donc, par la loi, droit à une rémunération pour cette utilisation. Avec la licence adéquate délivrée par SUISA, les utilisatrices et utilisateurs contribuent à plus d’équité.
Sur 100 francs encaissés, environ 87 francs sont reversés directement aux créatrices et créateurs. Un cercle vertueux: celles et ceux qui profitent de la musique et la rémunèrent équitablement rendent la création possible.
«SUISA sait où nos chansons sont jouées et veille à ce que les redevances reviennent aux artistes afin de rémunérer notre travail», souligne Alizé. «Grâce à cela, nous pouvons continuer à créer et à partager notre musique avec notre public», complète Xavier.
Préserver la valeur de la musique est essentiel. SUISA contribue activement à encadrer son utilisation afin que, même à l’ère de l’intelligence artificielle, les créatrices et créateurs soient rémunérés équitablement.
Tu diffuses de la musique en dehors du cadre privé? Annonce ton utilisation et soutiens une culture musicale vivante et diversifiée.
Ce contenu publicitaire a été réalisé par SUISA et produit par le Commercial Publishing, le département de Content marketing qui travaille sur mandat de 20 minutes et de Tamedia. La responsabilité des contenus (mots, images) et des liens externes incombe à SUISA.