Sponsored

Acheter, c’est fini. Aujourd’hui, on s’abonne

De nos jours, la plupart des biens et services sont disponibles sur abonnement. L’économie de la souscription est en vogue et la Suisse ne fait pas exception.

Dans la société actuelle, les mutations et les évolutions rapides sont monnaie courante. Il est par exemple devenu normal qu’on n’achète plus certains objets utiles à notre quotidien, mais qu’on les acquiert en prêt ou sur abonnement. Ce ce que les spécialistes appellent l’économie de la souscription.

Netflix ou Spotify sont des exemples du succès de ce business model, mais on peut s’abonner à bien d’autres choses que des films ou de la musique. Les offres sont multiples et concernent aussi bien les voitures, les meubles, les rasoirs ou encore les articles de sport.  

La commodité d’abord

L’avantage principal des abonnements, c’est de rendre facilement accessibles, et parfois meilleur marché, des biens ou services chers ou logistiquement compliqués. Depuis quelques temps, il est par exemple possible d’obtenir tout son mobilier sur abonnement. De grandes enseignes, comme Ikea ou Beliani, proposent ainsi des lits, des canapés ou encore des armoires. On peut donc équiper son appartement pour une somme fixe relativement basse. 

En Suisse aussi, des entreprises ont compris les potentiel l’économie de la souscription. L’entreprise Carvolution est un des précurseurs de ce type de service dans le domaine de l’automobile. Et son concept a fait ses preuves. La devise «s’abonner au lieu d’acheter» attire toujours plus de nouveaux clients et tient ses promesses: c’est à dire avoir une voiture et tout ce qui va avec pour une prix mensuel abordable, sans frais cachés. L’assurance, les pneus, l’immatriculation, l’entretien et la vignette sont inclus. 

Chaque idée n’est pas un succès

Chaque initiative ne fonctionne pas aussi bien que l’abo auto suisse ou Netflix et compagnie. Le fabricant de matériel de sport Adidas a décidé de stopper son projet «Avenue A», car trop peu de clients manifestaient de l’intérêt à recevoir chaque trois mois une boîte surprise avec des articles de sport. Idem pour l’abonnement de vols en jet privés «Surf Air» qui a arrêté ses activités en Europe, dont ses vols au départ de Zurich, faute de demande. 

L’offre en matière de meubles peine aussi à trouver son public. Il semble que, même à l’ère de Netflix, les consommateurs tiennent à s’installer sur un canapé qui leur appartient. Et, encore aujourd’hui, certains préfèrent acheter des CD ou des DVD. 

A qui cela s’adresse-t-il?

Qu’est-ce qui rend ce système d’abonnement si attractif pour de nombreux clients? Les exemples cités ci-dessus peuvent être utilisés pour comprendre avec qui cela fonctionne, ou pas.

Si on reprend l’idée d’un abonnement auto: celui qui souhaite vivre dans un monde toujours plus flexible ou qui veut pouvoir avoir accès à un véhicule à tout moment et sans procédures interminables obtiendra ce qu’il cherche chez Carvolution. De plus, ceux qui ne souhaitent pas s’encombrer avec tous les détails concernant l'acquisition d’un véhicule se retrouveront dans cette «offre de commodité» totalement transparente en matière de coûts.

En revanche, celui ou celle qui recherche un modèle en particulier, qui s’intéresse au tuning ou qui est fan de véhicules anciens est en général propriétaire de sa propre voiture. L’acquisition «à l’ancienne» reste donc l’option privilégiée. 

Sponsored

Ce contenu a été produit par le Commercial Publishing, en collaboration avec Carvolution. Le Commercial Publishing est le département de Content Marketing qui travaille sur mandat de 20 minutes et de Tamedia.

A propos de Carvolution

L’idée derrière Carvolution est aussi simple que brillante: une voiture à soi pour une prix mensuel fixe, qui comprend l’assurance, les impôts et les pneus adaptés. A partir de 363 francs par mois, on peut bénéficier de la casco complète, l’immatriculation, les impôts, le service et l’entretien, les pneus, la vignette et même d’une carte pour faire le plein. Comparé à un leasing, cela représente une économie de 121 francs par mois. 

Comparis a analysé le marché de l’abonnement auto et est arrivé à la conclusion que ce dernier, comparé à un leasing, est meilleur marché. «Pour beaucoup de Suisses, un abonnement auto est une bonne affaire», conclut le rapport. Dans le cas les plus extrêmes, les abonnés peuvent économiser jusqu’à 4000 francs par rapport à un leasing, ajoute Comparis.

Changement d'emploi, agrandissement de la famille ou déménagement; la vie change rapidement. C'est pourquoi la durée des abonnements varie de 3 à 36 mois. On a le choix parmi des voitures neuves de plus de 20 marques, réserver en ligne et se faire livrer dans les dix jours ouvrables.