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Pourquoi il faut investir dès maintenant dans des actions

On se demande toujours quel est le meilleur moment pour faire son entrée en bourse. Souvent, le timing n’est même pas si important; c’est l’horizon de placement qui compte, et le bon choix des actions. 

Vous envisagiez dernièrement d’entrer sur les marchés boursiers? Si oui, vous devez avoir eu le tournis ces derniers jours. Dans tous les médias, on débat âprement pour savoir si, oui ou non, c’est le moment de réaliser des placements. La tempête du coronavirus est-elle derrière nous? Le bon moment est-il déjà passé? La tendance va-t-elle replonger? 

C’est indéniable: si l’on a le goût du risque, on peut gagner beaucoup d’argent en ce moment, mais on peut aussi en perdre beaucoup. Dans les faits, les marchés se sont étonnamment bien remis des turbulences du début de la crise du coronavirus et ils ont récompensé les investisseurs à long terme. Alors qu’au mois de mars, les opérateurs en bourse sentaient, comme Astérix et Obélix, le ciel menacer de leur tomber sur la tête, les indices ont fini par se stabiliser. Galvanisé par l’espoir d’un avenir meilleur grâce aux innovations techniques, le Nasdaq a même atteint de nouveaux sommets.

Pourquoi il ne faut pas s’inquiéter des hauts et des bas

Même si les répercussions de la pandémie feront partie du paysage pendant quelque temps, il faut bien le constater: les marchés sont plus résistants que beaucoup ne le pensaient. Pour l’instant, les conséquences du coronavirus sont plutôt minimes par rapport à celles de la crise financière de 2008, par exemple. Un constat qui s’intègre dans l’image globale tracée par le Dow Jones sur un graphique à long terme: au cours des dernières décennies, l’index n’a fait qu’augmenter; les crises ont toujours été surmontées.

Des investisseurs de légende, comme Warren Buffett, ne sont donc pas seulement célèbres pour leur richesse, mais aussi pour leur sérénité. L’été dernier, à la question «Que conseilleriez-vous aux investisseurs?», l’investisseur-star américain a répondu: «Garder son sang-froid», avant d’ajouter cette phrase lapidaire: «C’est tout à fait normal que les cours des actions baissent». Et ils vont finir par remonter. M. Buffett sait qu’un horizon de placement à long terme est le b.a.-ba d’un investissement fructueux. Ce n’est pas pour rien que l’on a retenu sa célèbre maxime: «Si vous ne vous sentez pas à l’aise de posséder quelque chose pendant 10 ans, alors ne la possédez pas pendant 10 minutes».

La durabilité, oui, mais seulement avec les bons titres

Un horizon de placement de 15 à 20 ans signifie surtout une quasi-certitude de multiplication des actifs. Avec les actions, les perspectives de profits sont d’ailleurs plus élevées que les fonds indiciels ou les obligations. Le moment où l’on décide d’investir n’est pas si important; ce qui compte, c’est d’être endurant pour pouvoir bénéficier de l’évolution historiquement prouvée du marché.

Mais ce n’est pas si simple. Car il faut déjà connaître les bons titres. En effet, il existe aussi des actions qui évoluent à contre-courant du marché et perdent de la valeur à long terme. Il est plus difficile qu’on le croit de trouver les bons titres. Les professionnels reconnaissent les actions de qualité bien avant que le monde entier n’en parle et qu’elles ne soient confrontées au sur-achat. 

Les experts comme ceux de Genève Invest se penchent chaque jour sur les fluctuations de l’économie et sur le projet de découvrir les GAFAN (Google, Amazon, Facebook, Apple, Netflix) de demain. Ils examinent les avantages concurrentiels des modèles économiques, qui garantissent un succès à long terme, c’est-à-dire une augmentation du chiffre d’affaires et des profits. L’objectif est celui que Warren Buffet a toujours conseillé: conserver ces actions pour les avoir encore dans le portefeuille dans dix ans. 

La recette d’une plus-value durable: des modèles économiques solides alliés à un horizon de placement à long terme – que l’on ait choisi le bon moment ou non pour entrer en bourse.

Dans la sélection des actions, Genève Invest s’est spécialisé dans le «Value-Investing». Ce concept de placement s’inspire de Benjamin Graham, légende dans le domaine des investissements. L’idée de base est simple: les entreprises possèdent une valeur intrinsèque, que l’on peut définir assez précisément au moyen d’une série d’informations sur celles-ci.

Toutefois, la valeur boursière de l’entreprise peut varier considérablement de sa valeur intrinsèque suite à des surréactions qui se répètent de manière cyclique. Mais, à long terme, la  valeur boursière et la valeur intrinsèque finissent toujours par s’équilibrer.

En tant qu’investisseurs classiques axés sur la valeur, nous mettons ce phénomène à profit en investissant dans des actions à potentiel de rattrapage. En plus de leur bonne évaluation, les entreprises qui nous intéressent le plus disposent d’autres caractéristiques, qui ne rendent pas le cours des actions insensible aux revers, mais qui offrent au moins une sécurité.

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Ce contenu a été produit par le Commercial Publishing, en collaboration avec Genève Invest. Le Commercial Publishing est le département de Content Marketing qui travaille sur mandat de 20 minutes et de Tamedia.