Le témoignage d’une jeune libertine suisse

C. mène une véritable double vie. Le jour, elle travaille dans un cabinet de conseil renommé. La nuit, elle retrouve des partenaires d’un soir dénichés sur le web pour assouvir tous ses fantasmes.

«Je ne voudrais pas qu’on me prenne pour une nymphomane. J’ai toujours trouvé totalement sexistes les gens qui traitent les femmes de nymphomanes dès qu’elles affirment un peu leur sexualité. Comme si le désir féminin relevait de l’anormalité ou de la pathologie. Je crois qu’aujourd’hui, pour les femmes de ma génération en tout cas, le sexe est quelque chose qu’on prend, pas qu’on subit. Je m’en rends compte autour de moi comme sur Internet, on est de plus en plus nombreuses à assumer nos envies, y compris de sexe sans engagement.

J’ai vite réalisé que je n’étais pas vraiment faite pour les relations dites «sérieuses». En fait, je n’ai jamais passé plus de six mois d’affilée avec un homme. Même quand une personne me plaît beaucoup, il y a forcément une espèce de lassitude qui s’installe sur le plan sexuel. On a beau dire, c’est pratiquement impossible d’éviter la routine au lit quand on vit avec quelqu’un. Et comme je ne me voyais pas aller voir à droite et à gauche tout en restant en couple, j’ai décidé d’assumer mon célibat et d’en profiter pleinement!

Avant la pandémie de Covid-19, j’allais souvent dans les bars ou en club pour trouver des hommes. Mais j’ai dû m’adapter, bien sûr, et c’est comme ça que j’ai fini par m’inscrire sur des sites de rencontres coquines comme The Casual Lounge. Les gens s’imaginent toujours que c’est horriblement compliqué de trouver des partenaires en ligne. En fait, il faut juste rester soi-même et accepter qu’on est là pour le plaisir. Je ne vois pas pourquoi je me refuserais ces hommes, ces moments de bien-être. D’ailleurs, eux-mêmes ont rarement l’air déçus quand ils repartent. Le sexe avec un inconnu, ça n’a rien à voir avec le plaisir en couple. Il y a vraiment des frissons, de la surprise, ça permet de faire des expériences que je n’aurais jamais faites si j’étais restée bien «sage». Bien sûr, parfois, j’ai envie de revoir tel ou tel type. J’ai quelques sex friends réguliers, mais aujourd’hui en tout cas, c’est à ma liberté que je tiens par-dessus tout.»

C. est loin d’être un cas isolé: d’après les premières statistiques de l’année 2021, la plateforme érotique The Casual Lounge compte plus de 61% d’utilisatrices. Autrement dit, ces dames sont plus nombreuses que ces messieurs à chercher des partenaires occasionnels!

Pour en savoir plus et t'inscrire gratuitement, rends-toi sur TheCasualLounge.ch, élu meilleure plateforme de rencontres coquines 2021.