En sécurité dans le trafic avec Max
Michael Pfäffli, responsable de la recherche sur les accidents chez AXA, parle de la nouvelle loi et des enfants dans la circulation routière. Plus d'informations ici.
Christina, maman de 37 ans, est catégorique: pour Noah, son fils de 8 ans, le chemin de l’école c’est sacré. «C’est toujours une aventure. Il trouve des cailloux, des jolies coquilles d’escargots pour sa collection ou alors il joue à cache-cache avec ses amis en rentrant à la maison», raconte-t-elle. Toutefois, quand il prend plus de temps que d’habitude pour arriver à la maison, elle se fait du souci. Jusqu’à ce qu’elle le voie enfin arriver.
Le chemin de l’école, c’est en effet bien plus qu’un trajet d’un point A à un point B pour les enfants, surtout pour les plus jeunes. Entre l’école et la maison, ils découvrent le monde. Ils trouvent des plantes, des animaux et observent les gens autour d’eux. C’est en jouant que les enfants apprennent à réagir de manière appropriée aux différentes situations qu’ils rencontrent et gagnent ainsi en confiance. C’est aussi sur le chemin de l’école que naissent des amitiés.
C’est pourquoi Christina évite d’accompagner son fils et se refuse à le déposer en voiture: «Je sais qu’il peut y avoir des dangers mais je ne veux pas l’emmener à l’école. Noah a besoin de cette liberté, de se défouler, de bouger.» D’ailleurs, la plupart des parents qu’elle connait partagent sa façon de penser. Presque aucun d’entre eux n’amène son enfant en voiture à l’école.
Selon Pro Velo Suisse, la plupart des enfants aiment aller à l’école en vélo. Mais les infrastructures ne sont toutefois pas toujours optimales en matière de sécurité. Depuis 2021 toutefois, les choses se sont un peu améliorées. En effet, les enfants jusqu’à 12 ans peuvent circuler sur le trottoir quand il n’y a pas de piste cyclable.
«Le nombre d’enfants qui se rendent à l’école à vélo a diminué de moitié ces vingt dernières années. Mais maintenant qu'il y a plus de sécurité sur les routes, les enfants peuvent à nouveau pédaler plus souvent sans crainte», déclare Daniel Bachofner, responsable de la sécurité routière chez Pro Velo, à propos de l'amélioration de la sécurité routière.
Toutefois, cette loi ne suffit pas à elle seule à protéger tous les enfants contre les accidents. Il est donc d'autant plus important, en tant que parents avant tout, de veiller à ce que leur progéniture soit sensibilisée à tous les dangers possibles de la vie quotidienne - et notamment de la circulation routière - et à ce qu'elle apprenne les règles de conduite dès son plus jeune âge.
Il ne faut pas oublier que les jeunes enfants perçoivent leur environnement différemment des adultes. Ils sont rapidement distraits, curieux et réagissent de manière imprévisible. De plus, leur champ de vision est limité en raison de leur taille. Ils ne voient pas au-dessus des voitures garées et évaluent mal les vitesses et les distances.
«Attends, regarde, écoute, vas-y !» - le bon vieux dicton s'applique encore aujourd'hui, et il fonctionne! De plus, les parents peuvent utiliser les technologies modernes pour aider leurs enfants à mettre en pratique les règles les plus importantes. Avec l'application gratuite Max, par exemple, ces derniers apprennent à évaluer correctement les dangers potentiels sur un chemin scolaire virtuel.
En sécurité dans le trafic avec Max
Michael Pfäffli, responsable de la recherche sur les accidents chez AXA, parle de la nouvelle loi et des enfants dans la circulation routière. Plus d'informations ici.
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