Dès l’enfance, on nous inculque que plus on est curieux, plus on apprend de choses, plus on devient malin et intelligent. C’est pourquoi, à l’école, on nous remplit le cerveau d’informations qui n’ont parfois aucun sens pour nous sur le moment. La géométrie vectorielle, les déclinaisons du latin, les réactions en chimie: à quoi cela va me servir dans la vie? Ce n’est qu’à l’âge adulte que nous réalisons la valeur de ces connaissances scolaires – que nous n’aurions jamais apprises de notre propre initiative. Ce sont des savoirs utiles pour appréhender le monde et sa complexité. A côté de cela, il y a les fun facts, ces infos surprenantes qui nous amusent avant tout! On les ressort à la pause café avec les collègues, en soirée avec ses copains, pour briser la glace lors d’un dîner. Ces connaissances sont appelées «savoirs inutiles». Une vision un peu élitiste! Comment déterminer quels sont les sujets futiles et ceux qui ont une valeur en matière de connaissance? Cela ne peut être mesuré scientifiquement. Or ces savoirs futiles ont une grande valeur au niveau des relations sociales. Ils permettent d’engager une conversation de manière légère, et même de mettre l’ambiance. Le tout est de les partager sans faire trop le malin, au risque d’agacer tout le monde. D’ailleurs, savais-tu que…
… l’animal national de l’Ecosse est la licorne.
… Brad Pitt a abandonné ses études de journalisme deux semaines avant la fin pour filer à Hollywood.
… grâce à leurs rayures, les zèbres se font moins piquer par les insectes que les chevaux.
… le prénom de Minnie Mouse est «Minerva»
… les capsules dans les Kinder Surprise sont jaunes pour imiter le jaune d’œuf!
… le teddy bear a été nommé d’après le président américain Theodore «Teddy» Roosevelt, chasseur d’ours passionné, mais qui ne tirait jamais sur les oursons.
… le petit oiseau bleu de Twitter a été baptisé Larry, en l’honneur de la star du basket Larry Bird.
… avec la salive produite par un être humain durant sa vie, on pourrait remplir deux piscines.