Elles s'appellent «Baby», «Mazer», «Schtroumpfette», «Blondie», «Friday», «Maxine» ou «Roméo» et «Juliette». Et elles se tiennent toutes côte à côte, bien sagement. Leur point commun: ce sont des Mazda MX-5 qui appartiennent toutes à Heinz Zürcher et ne sont plus dans leur état d'origine. Au contraire, elles ont été améliorées avec un grand souci du détail: jantes spéciales, compteurs de vitesse colorés, volants et pommeaux de vitesse en bois ou nouveaux revêtements de sièges.
«La Mazda MX-5 est livrée avec un intérieur noir, explique Heinz Zürcher. «Mais moi, je l'aime plus colorée», sourit-il. En fait, ce fan de voitures a souvent déjà tout un concept en tête avant d'acheter un nouveau roadster.
C'est pourquoi on trouve aujourd’hui dix modèles complètement différents dans la grange à côté de la maison de ses parents. Et chacun avec son propre look et son propre nom. Quand Heinz Zürcher décide de partir en road trip, le maître mot est le plaisir. Selon la saison et la météo, il sortira un modèle bien précis. Pour ce voyage les cheveux au vent suivi d’une nuit sous la voûte étoilée à l’«Alpen Britsche» près de Herisau (AR), c'est au tour de «Monday», qu'il appelle aussi «Goldie», de prendre la route (d’ailleurs, si toi aussi tu rêves d’aventure et de vivre une nuit «Mille Etoiles», participe au concours).
Devenir collectionneur n’a jamais été un plan pour Heinz Zürcher. Ça s’est fait un peu par hasard. Mais lorsqu’il a vu une Mazda MX-5 pour la première fois, ça a été le coup de foudre. Lorsqu'il a découvert le nouveau roadster sur la couverture d'un magazine en 1989, ça a été comme une évidence: «Je veux cette voiture». Ce d'autant plus qu'il avait déjà découvert le plaisir de la conduite à l’air libre à l'armée. «Ils cherchaient quelqu'un pour conduire une Jeep ouverte en hiver. Je me suis inscrit et j'ai immédiatement ressenti ce sentiment très spécial qu’on ne ressent qu’en cabriolet.»
Pendant des années, rouler sa première Mazda MX-5 lui a suffi. Ce n'est que depuis 2009 que le nombre de modèles a commencé à grimper. Et comme ces roadsters sont très abordables, il n’a pas hésité longtemps. «Lorsque les premiers modèles de la Mazda MX-5 sont arrivés en Europe, ils étaient recherchés et plutôt chers. Ensuite, j'ai profité du fait que l’offre de roadsters disponibles ait fortement augmenté.»
Heinz Zürcher se plait à donner un nom à ses voitures et à leur parler. Les noms lui permettent de garder une vue d’ensemble sur sa collection, dit-il avec pragmatisme. «Quand je dis à mon patron que «Baby» ou «Friday» étaient en forme aujourd'hui, il me regarde d'un air interrogateur», confie-t-il en riant. Toutefois, son entourage voit sa passion avec bienveillance, car «la Mazda MX-5 n'est pas une voiture qui fait vraiment des envieux».
La Mazda MX-5 que préfère l’informaticien, c’est la plus ancienne, parce que «Mazer», un modèle de 1991, a été pratiquement détruite par un voisin et les réparations ont coûté plus cher que la voiture elle-même. Mais pour lui, l’argent n’est pas le principal: «J’aime la forme et la légèreté de cette voiture. Et quand on appuie sur l’accélérateur, on ne va jamais trop vite. Le moteur et le châssis de la MX-5 aident toujours.»
A la question de savoir quel sera le prochain achat, Heinz Zücher soupire: «Je n'ai plus de place.». Mais si «une Mazdaspeed MX-5 Miata, construite qu'entre 2004 et 2005 et dont il existe environ 6000 exemplaires était disponible, je craquerais certainement.»
Cet été, fais le plein d’air pur avec la toute nouvelle série spéciale Mazda MX-5 Million Stars, le roadster légendaire distingué pour la troisième fois consécutive comme l’un des «Best Cars» lors de l’Auto Trophy.
Et pour rendre cet été encore plus magique, nous mettons en jeu dix nuitées dans un hôtel mille étoiles de Suisse Tourisme.
Ce contenu a été produit par le Commercial Publishing, en collaboration avec Mazda. Le Commercial Publishing est le département de Content Marketing qui travaille sur mandat de 20 minutes et de Tamedia.
