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Il ne faut pas écouter son coeur quand il s’agit d’argent


Les investisseurs sont souvent guidés par leurs sentiments lorsqu'ils investissent. Ce n'est pas une bonne idée. Pour gagner de l'argent en bourse, il faut garder la tête froide.

«Écoutez votre cœur!» - «Si l’instinct est bon, on ne peut pas se tromper.» - «La première impulsion est toujours la bonne.» On trouve des conseils de ce genre dans n'importe quel livre de développement personnel. Car que ce soit en amour, au travail ou dans les loisirs: les sentiments sont le b.a.-ba de la vie, c’est bien connu.

Toutefois, les sentiments n'ont pas leur place sur le marché boursier. Car si on se laisse guider par ses émotions lorsqu’on investit, on prend souvent de mauvaises décisions. Les investisseurs émotionnels perdent généralement beaucoup d'argent à court terme au lieu d'augmenter constamment la valeur de leurs actifs avec réflexion et patience.

En théorie, cela semble simple. Mais en pratique, c’est très différent. Les émotions sont souvent plus fortes que la raison. Or, sur le marché boursier, être capable de garder la tête froide ou non décide souvent du profit ou de la perte. Bien sûr, il est tentant de miser plus un investissement réussi. Mais l'avidité a ruiné de nombreux rendements et parfois empocher un profit moindre est la bonne décision.

Même les ventes de panique, lorsqu'un titre commence à plonger, ne sont qu'humaines. Après tout, même les investisseurs chevronnés souffrent lorsque leurs avoirs diminuent.

La peur ne fait pas gagner d'argent

Mais la peur, comme le dit un vieux dicton boursier, ne fait pas gagner d'argent. On ne devrait d’ailleurs pas réagir aux nouvelles, comme notamment lorsqu'un tweet de Donald Trump peut faire monter ou descendre le Dow Jones de trois points de pourcentage.

Des émotions telles que l'impatience, l'instinct grégaire ou l'humeur du moment peuvent également conduire à prendre de mauvaises décisions en matière d'investissement. C’est compréhensible: personne ne veut voir les pertes s’accumuler dans son portefeuille par une journée brumeuse d'automne. Mais vendre ou acquérir une action ne doit pas avoir de rapport avec le temps ou l'humeur.

Faire du commerce quand les canons grondent

En fait, de telles erreurs n'arrivent pas seulement aux débutants. Qu'il s'agisse d'un investisseur privé ou d'un investisseur institutionnel, les émotions dominent souvent le marché boursier. Les données montrent que même les professionnels ont un penchant pour les comportements procycliques. En d'autres termes, ils investissent lorsque les prix sont élevés, au lieu de suivre les règles éprouvées de la bourse et acheter «au son du canon». Après tout, le mauvais timing d'un investissement réduit le rendement. Cela s'applique aussi bien aux débutants qu'aux experts.

La raison de ce comportement réside dans la psyché humaine, dans laquelle une multitude de réactions sont quasi programmées. Cela inclut la soi-disant aversion aux pertes. Cela conduit au fait que les pertes comptables - c'est-à-dire les pertes non encore réalisées - sont évaluées moins fortement que les pertes réalisées.

L'investissement anticyclique exige la capacité de souffrir.

C'est pourquoi les titres déficitaires courent indéfiniment et les bénéfices sont réalisés trop tôt. En outre, les pertes sont généralement plus élevées que les profits, ce qui peut conduire à des décisions imprudentes par crainte d'être dans le rouge.

L'investissement anticyclique exige toutefois une certaine capacité à souffrir. C'est à ce moment qu'un investissement passe d'abord par une phase de pertes jusqu'à ce qu'il réalise un redressement.

Laisser l'expert faire le travail

Alors, que faire? La meilleure chose à faire pour chaque investissement est de créer une stratégie, de fixer des objectifs clairement définis et de ne pas se laisser perturber par l'actualité et les fluctuations à court terme. Comme c’est plus facile à dire qu'à faire, il est conseillé de laisser un expert faire le travail.

Les conseillers de Genève Invest ont les compétences et l'expérience nécessaires pour trouver le profil d'investissement qui convient à chacun et pour définir une stratégie et des objectifs adaptés à la situation. En tant qu'investisseur, on peut alors dormir sur ses deux oreilles et laisser à au conseiller le soin de garder la tête froide même en période de turbulences.

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Ce contenu a été produit par le Commercial Publishing, en collaboration avec Genève Invest. Le Commercial Publishing est le département de Content Marketing qui travaille sur mandat de 20 minutes et de Tamedia.

Genève Invest s'est spécialisé dans le «value investing» dans la sélection des titres. Ce concept d'investissement remonte à la légende de l'investissement Benjamin Graham. L'idée de base est simple: les entreprises ont une valeur intrinsèque qui peut être déterminée de manière relativement précise sur la base d'une série de données.

Toutefois, la valeur marchande de l'entreprise peut s'écarter considérablement de sa valeur intrinsèque en raison de réactions excessives qui se répètent cycliquement. À long terme, cependant, la valeur marchande et la valeur intrinsèque convergent toujours.

En tant qu'investisseurs de valeur classiques, nous en profitons et investissons spécifiquement dans des actions sous-évaluées ayant un potentiel de rattrapage. Outre leur évaluation favorable, les entreprises qui nous intéressent particulièrement présentent d'autres caractéristiques qui, bien qu'elles ne rendent pas le cours de l'action résistant aux revers, offrent au moins une couverture.

On peut constater à maintes reprises que les investisseurs privés ont un comportement procyclique dans leurs investissements en actions et investissent précisément lorsque les actions ont augmenté sur une longue période. Si, en revanche, il y a des revers ou des périodes prolongées de faiblesse, l'intérêt diminue rapidement.

Genève Invest opère sur les marchés des capitaux sur la base d'analyses solides des marchés, des secteurs et des entreprises et utilise des indicateurs techniques pour déterminer les points d'entrée et de sortie appropriés. En revanche, les facteurs émotionnels n'ont aucune influence sur nos décisions d'investissement.