Le prêt est en fait un principe très ancien. Pendant longtemps, il était courant qu’il n’y ait qu’une personne dans la rue qui possède une machine à laver ou un téléphone. Quand des voisins voulaient utiliser ces objets, ils payaient ou proposaient un troc. C’est difficile à imaginer aujourd’hui, tout le monde a tout et on ne pense généralement pas à emprunter autre chose que des livres!
Et pourtant, partager ou louer plutôt qu’acheter serait un pas important vers une consommation durable. Dans le jargon, on appelle cela l’économie de partage. Le modèle est de plus en plus attractif, surtout depuis le passage au numérique. Internet peut se transformer en bibliothèque d’objets. Une recherche sur ton smartphone suffit pour trouver en un clin d’œil un fournisseur qui loue ce dont tu as besoin – que ce soit une voiture de location, une robe de soirée ou une perceuse.
Jumbo propose aussi un service de location d’outils et de machines, de la souffleuse à feuilles au karcher (infos sur www.jumbo.ch/location-d-outils). C’est tout simple: tu choisis l’appareil désiré, tu définis la durée de location et tu décides dans quelle succursale retirer la machine. A terme, tu économises ainsi de l’argent, tu agis en faveur de l’environnement et tu bénéficies même de conseils sur comment bien utiliser ces outils.
Idée reçue
Faux. C’est vrai que les produits durables coûtent souvent plus cher, mais ils ont généralement une durée d’utilisation plus longue. Par exemple, tu n’as pas besoin de remplacer un jean de qualité après quelques lavages parce qu’il est élimé. Ou un toasteur car il est tombé en panne après une année. Une consommation plus limitée va de pair avec un mode de vie durable. C’est à dire moins d’achats matériels, et donc moins d’argent dépensé. Et soyons réalistes, ça risque de nous coûter très cher dans le futur si nous ne commençons pas dès maintenant à vivre de manière durable…
Des PAROLES aux ACTES
Engagé: Kevin Costner
Avant sa carrière d’acteur et de réalisateur, l’Américain a travaillé temporairement comme marin pêcheur. C’est ce qui a éveillé son intérêt pour l’écosystème des mers. Après sa percée dans l’industrie du cinéma, l’acteur a investi des millions dans la recherche de technologies novatrices qui permettent de filtrer l’huile de l’eau. En 2010, lors de la marée noire dans le golfe du Mexique, 32 de ses machines ont été utilisées avec succès pour épurer l’eau polluée. Alors, merci Kevin!
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